En Belgique et en France, une nouvelle tendance commence à s’installer : les fêtes de divorce. Ces célébrations visent à transformer un moment perçu comme un échec en une occasion positive de tourner la page. Comme l’a rapporté BFMTV, Élodie Chabrol, une quadragénaire, a organisé une fête de divorce qui s’est avérée plus joyeuse que son propre mariage. Pour elle, il s’agissait de célébrer la fin d’une période difficile et de marquer le début d’une nouvelle vie.
De plus en plus d’organisateurs d’événements proposent désormais ces fêtes, bien qu’elles ne soient pas encore totalement ancrées dans les mœurs. Ces célébrations sont souvent marquées par des gestes symboliques, comme brûler la robe de mariée, pour exprimer la libération et la renaissance. Ronan Chastellier, sociologue cité par BFMTV, souligne que cette tendance, bien que récente, reflète une évolution dans la perception sociale du divorce, le rendant moins stigmatisant et plus accepté.
En somme, pour ceux qui le souhaitent, la fête de divorce devient une manière cathartique de dire au revoir à une relation passée et d’accueillir de nouvelles perspectives, le tout entouré de proches prêts à soutenir cette transition.