L’infidélité serait-elle génétique ? C’est ce qu’affirme un groupe de chercheurs suédois et australiens.
Ceux-ci ont réalisé une étude basée sur un échantillon de 7.378 jumeaux âgés de 18 à 49 ans, en couple depuis plusieurs années. Et lors de cette étude, les scientifiques sont parvenus à identifier un gène spécifique — le gène Avpr1A —responsable de l’infidélité.
Infidèle entre 40 et 49 ans
Ce gène permet la production de l’arginine-vasopressine, une hormone qui influe sur le comportement social et impacte l’attachement entre les partenaires sexuels.
Selon les chercheurs, l’adultère serait donc héréditaire. 63% des hommes et 40% des femmes infidèles le seraient à cause de leur patrimoine génétique. Dans l’échantillon examiné, 9,8% des hommes et 6,4% des femmes avaient été infidèles au cours de l’année précédente.
L’étude a également démontré que l’infidélité arrivait le plus souvent entre 40 et 49 ans.
Par ailleurs, mesdames, n'oubliez pas que les hommes à la voix grave sont les moins fidèles!